De quoi on a besoin pour être heureux?

       
 Maintenant que Noël s'approche  on fait la course en cherchant les cadeaux parfaits pour les proches ou on achète beaucoup de nourriture. L'esprit de Noël est devenu un cliché pour les grands magasins qui nous poussent à consommer encore plus. Mais de Noël on est plus gentil, plus proche, plus généreux. On peut visiter la famille, faire des bons repas en famille et Noël nous rapproche. C'est plus qu'une fête, c'est la plus importante des fêtes. On peut se détacher des problèmes, des soucis. On oublie le boulot et on trouve le bonheur près des gens qu'on aime. Mais Noël est une fois par an. On devrait chérir les moments en famille, les souvenirs. On donne déjà trop au travail, beaucoup plus qu'on donne en couple ou aux enfants. On passe entre 7-10 heures par jour au travail et on passe 4 heures par jour avec les enfants. Heureusement que ça existe les jours fériés. Des fois on travaille toute l'année pour une semaine ou deux des vacances. Mais quand on est le plus heureux?

 J'ai lu une histoire qui parle de ce que c'est important dans la vie. Dans un petit village de pêcheurs, il est venu un touriste. Il a observé que la qualité des produits était supérieure à tous les produits qu'il avait gouté. Il demande aux villageois combien de temps ils passent pour attraper ces poissons. Les gens  répondu qu'ils pêchaient juste la quantité nécessaire pour subvenir aux besoins de leurs familles. Et une fois qu'ils ont tout ce qu'il leur faut, ils reviennent passer du temps avec leurs proches. Ils dormaient jusqu'au tard, ils jouent avec leurs enfants, ils font la sieste avec leurs femmes, ils sortent boire un verre avec les copains, ils jouent la guitare ou ils chantent des chansons. Ils ont une vie tranquille. Le touriste leur dit qu'il va les aider avec des conseils pour pêcher plus de poisson et vendre le surplus et avec l'argent il pourront s'acheter un bateau plus grand. Et après acheter plusieurs bateaux et vendre directement aux industriels ou même construire une usine. Ils pourront quitter le village pour vivre dans une grande ville et de là-bas diriger leur entreprise. Et pour arriver à ça ils devront travailler pendant vingt -cinq ans. Et après vient la partie la plus intéressante, dit le touriste. Vous serez à la retraite et vous pourrez vivre dans un village tranquille au bord de la mer, ou vous pourrez dormir jusqu'au tard, jouer avec les enfants, faire la sieste avec vos femmes, sortir avec les copains. Les villageois ont répondu: C'est exactement ce qu'on fait maintenant. Ça sert à quoi de perdre vingt-cinq ans? 

De quoi on a besoin pour être heureux? On vit dans une société qui veut de plus en plus des choses et plus ils ont plus ils veulent. E ils ne sont jamais content. Le touriste est l'image de cette société qui planifie le future sans se rendre compte de ce qu'il a à l'instant même. Quand on voit les gens qui vivent leur vie tranquillement sans avoir besoin de plus, on a la tendance de les pousser vouloir plus. Mis il y a des gens qui sont heureux avec les choses simples de la vie. Des gens qui cultivent la terre pour se nourrir, qui élèvent une vache pour avoir du lait et quelques poules pour des œufs. Et ils sont heureux. Quand quelqu'un vient en visite chez eux ils partagent avec lui le peu qu'ils ont. Et des gens qui ont tout ce qu'ils veulent et quand quelqu'un vient en visite ils servent un  café à l'invité. Et ils sont malheureux et ils se plaignent tout le temps. J'ai rencontré de tout dans ma vie. Mais j'ai compris que ce n'est pas les objets qui nous rendent heureux. J'ai vu des gens qui chantent et dansent même s'ils n'ont pas le dernier i phone.

Les choses simples nous rendent heureux. Quand tu as un toit,  nourriture et quelqu'un qui t'aime peut être suffisant pour certains et pour d'autres rien n'est suffisant. S'ils ont une maison, ils veulent une voiture. S'ils ont maison et voiture, ils veulent plusieurs maisons, plusieurs voitures, un yacht, un jet privé, etc. Et quand ils ont tout, ils veulent du pouvoir, du contrôle. Mais de combien ils ont besoin pour être satisfaits? Quand quelqu'un n'a pas assez pour nourrir ses enfants et d'autres qui ont tout et ils veulent plus, le monde est injuste. Mais c'est Noël et on est occupés faire les courses, décorer le sapin, préparer le repas. Et quand on jettera les restes à la poubelle, pensons à ceux qui n'ont rien. Quand on se plaint que notre appartements est petit, n'oubliez pas qu'il y a des gens qui dorment dans la rue. Joyeux Noël à tous! Bonnes fêtes! Soyez heureux!

Sur l'abandon

        J'ai eu un blocage: je ne savais plus quel sujet aborder. Pendant quelques jours je restais devant la page blanche. Et un jour j'ai eu une révélation. Je vais parler de l'abandon. On abandonne les personnes de qui on était amoureux sans regrets ou remords. Ou on est abandonné par la personne qu'on aime le plus. Pourquoi on abandonne si facilement la personne avec qui on partage notre vie? On fait un bout de chemin ensemble et après on se sépare. Un mariage sur deux finit par un divorce. Pourquoi lutter quand c'est plus simple abandonner. Un ex m'avait reproché un jour que je n'avais lutté assez pour lui. Je l'ai abandonné. Peut-être que c'était vrai, peut-être que j'ai abandonné trop vite cette personne. Mais j'étais jeune et j'avais d'autres projets. Peut-être des fois on ne peut pas lutter. Je lutte pour quelqu'un qui vaut la peine. Et lui ne valait pas la peine.

       

        On abandonne beaucoup des choses trop souvent. On regrette très peu ce qu'on laisse derrière nous. Quand on est petit, on abandonne ses jouets sans penser qu'il y a des enfants qui n'ont pas. Quand on est plus grand on abandonne les cours ou le sport sans regrets, sans essayer de tout donner. Moi aussi j'ai abandonné un cours de danse et le basket-ball. Abandonner c'est facile, travailler pour obtenir des performances c'est dure. Qu'est ce que fait de nous des champions, ds vainqueurs? Ne jamais abandonner ses rêves. Les gens qu'on admire comme les sportifs, les chanteurs, les artistes ont commencé à une jeune age et ils ont travaillé dure sans abandonner. J'ai une amie qui est étudiante au Conservatoire et elle se prépare pour devenir cantatrice d’opéra. Elle a une voix magnifique, mais elle répète tous les jours. Elle n'arrête pas de travailler. Des fois c'est dure, mais elle n'abandonne jamais. 

          On abandonne beaucoup des choses, des rêves, des personnes, des animaux. On abandonne nos chiens et ils sont recueillis par la SPA. Vous avez vu un chien abandonné? Il est toujours en attente. Il ne comprend pas pourquoi son maître l'a abandonné. Il préfère être battu qu'abandonné. On abandonne nos parents dans notre course vers le succès. On n'a jamais de temps pour les rendre visite. On trouve toujours des excuses et on croit qu'on a le temps. Mais les parents ne sont pas éternels. Et nous non plus. Il y a quelques ans j'étais à mon compte et j'ai travaillé dure pour me faire connaître. Je ne pensais plus à autre chose que ma boite. Et je ne prenais pas des vacances pour visiter ma famille. Et un jour mon père est mort. Et j'ai pris des vacances pour les obsèques. J'ai pris conscience que malgré toutes les obligations qu'on a au boulot il faut jamais abandonner ses proches.

       Jeter c'est plus simple que réparer. Quand j'étais petite, ma mère faisait réparer ses chaussures. Maintenant on a la tendance de les jeter même si elles sont encore en bon état. Et les produits électroménagers sont faits pour tenir jusqu'à la garantie. Après ils s'abîment. Alors on jette le vieux frigo et on achète un autre. C'est pour consommer plus et remplir les poches des producteurs. Toi tu dépasses ton budget ou tu fais un crédit pour le payer en final beaucoup plus cher. Entre temps les riches deviennent plus riches. Tout ça parce qu'on ne sait plus réparer. Ni les objets, ni les relations, ni le cœur brisé. 

        On abandonne nos enfants à la crèche ou chez une nounou pour poursuivre notre rêve ou juste pour survivre. Et l'enfant se sent abandonné et nous on se sent coupables. Après il s'habitue à cet abandon quotidien. Et on le gatte plus pour compenser la manque. L'enfant ne veut pas plus d'argent, il veut plus de toi. Les jouets ne remplacent pas l'absence d'une mère. Et l'enfant va vivre avec une peur d'être abandonné. Rien au monde ne te rend plus heureux que l'amour. Le reste ce sont des choses  nécessaires. La nourriture ne te rend pas heureux, c'est nécessaire. Le shopping ne remplit pas le vide de ton cœur. 

        On abandonne notre âme dans cette vie pour avoir plus d'argent, plus d'objets, plus de pouvoir. On oublie que l'argent à la base c'est que du papier. Le monde serait meilleur si on comprendrait que nous on ne mange pas de l'argent, mais des produits que la nature nous offre gratuitement, qu'on ne se chauffe pas avec de l'argent, mais avec des ressources que la terre les cachent précieusement, qu'on a tout pour vivre, mais on a abandonné la nature dans les mains des personnes qui font que la détruire. On a abandonné notre liberté pour le confort et la sécurité. On a abandonné des pays en guerre et des gens innocents. Les guerres sont si chères. Les vies perdues n'ont pas prix. Et l'argent investi dans une guerre pourraient nourrir le monde entier et construire des maisons pour chaque famille. Mais on est trop occupé pour penser aux autres. On abandonne nos valeurs, mais on garde les jugements. On a abandonné notre chemin et maintenant on est perdu. Un jour on retrouvera le chemin, mais il faudra abandonner tout ce qu'on apprécie tant de nos jours. Un homme libre c'est un homme qui n'a pas d'attachements. Un homme libre n'a pas d'attentes. Ni désirs. Parfois il faut pas abandonner, mais lâcher prise. Mais de ça je vous parlerai une autre fois.

La créativité

        On vit dans une période où les gens ne savent plus quoi inventer. Dans tous les domaines on prend les modèles qui on eu du succès. On fait des remakes, on crois qu'il n'y a plus rien à inventer. La créativité est en déclin. On dit souvent: ça sert à rien de réinventer la roue. C'est déjà fait. On apprend ce que les autres ont fait comme s'ils étaient des personnes exceptionnelles et des génies et que c'est pas donné à tout le monde. Mais eux ils sont réussi parce qu'ils ont pensé différemment des autres. Il y a 200 ans on utilisait les bougies pour illuminer la nuit. Imaginez-vous qu'on aurait dit qu'on a tout inventé au niveau de l'illumination. Mais quelqu'un a cherché dépasser les bougies et il a inventé la lampe au pétrole. Et après quelqu'un a découvert l'électricité et il a inventé l'ampoule. Et après on a eu tous les avantages du progrès. Ils ont été différents des autres car ils ont été créatifs. Ils n'avaient pas des modèles à imiter, ils sont devenus eux-mêmes des modèles à suivre. 

      Quelqu'un a inventé la roue, mais d'autres ont su l'utiliser différemment. Et ils ont inventé la voiture, le vélo, la chaise roulante, le train, etc. Dans notre société on ne se rend pas compte de cette créativité qui pousse les gens dépasser les limites. Notre valeur dépend de l'argent qu'on a dans la banque, des objets qu'on détient, de l'aspect physique, du métier qu'on exerce. Quand à l'école on apprend mémoriser, répéter ou imiter, notre créativité est étouffée. On n'apprend pas à penser et créer, mais à intégrer le système et devenir ce que d'autres croient que c'est  bon pour nous. Ils nous poussent à devenir consommateurs et pas producteurs, des ouvriers, pas des créateurs. Et le monde est comme il est grâce aux créateurs. La valeur des gens devrait dépendre de ce qu'on amène de nouveau, des solutions qu'on trouve pour les problèmes de notre société, de notre rôle dans le monde. Qui a plus de valeur: un footballeur qui tape dans un ballon et qui gagne des millions ou un chercheur qui a trouver une source d'énergie non-polluante? Alors pourquoi le chercher est inconnu et le footballeur est sur tous les magazines? C'est grâce au footballeur que le monde peut être meilleur? 

       On peut voir que dans notre société le système des valeurs est renversé. On ne se rend pas compte que les gens créatifs changent les choses. Ils ont changé le monde. Et chaque être humain peut devenir créateur. Ils veulent nous faire croire que seulement les génies sont créateurs, mais c'est faux. Ils nous étouffent et nous bloquent notre créativité depuis qu'on est petits, car ils ont besoin des gens conformistes qui obéissent aveuglément sans poser des questions. Au boulot on fait ce que le patron nous dit. Et on ne pose pas des questions. Quand le gouvernement demande de lutter contre un pays, le soldat exécute les ordres même si sa vie est en danger. Il croit qu'il lutte pour son pays, mais en réalité il y a des intérêts plus obscures derrière chaque guerre. Et il est puni s'il pense différemment. Comment serait le monde si les soldats refuseraient de tuer d'autres êtres humains?  Les guerres sont faits dans un bureau et les soldats sont comme les pions sur la table d'échecs. Ils sont les premiers qui tombent. Tout ça pour les intérêts de quelqu'un.

          Tous les jours les gens créatifs cherchent des solutions. Mais aujourd'hui ils nous cachent des méthodes alternatives de traitement des maladies graves car le chiffre d'affaires des groupes  pharmaceutiques aurait baissé, ils nous cachent les sources d'énergie alternatives car le prix de pétrole serait plus bas, ils brulent les diamants dans les mines pour garder leur rareté et le prix exorbitant. Les gens sont poussés à imiter, copier, répéter et utiliser ce qu'on connaît déjà. C'est pour ça que la créativité est en déclin. Si on connaît notre vraie valeur, si on pense différemment et on sait quelle est notre mission dans la vie, on peut changer nous-même et le monde. Sois le changement que tu veux voir dans le monde!

La société de la peur

Il y a quelques années on avait la belle vie. Après la crise est venue partout en Europe. On est passé d'une vie tranquille à une vie pleine de soucis. En premier temps on a commencé à avoir peur. La peur de perdre son travail. Aujourd'hui il y a un taux de chômage de 10%. Après les petits entrepreneurs ont eu peur de perdre leur boites. Conclusion: 8500 commerçants ont déposé le bilan l'année dernière. Plus de 250000 d'emplois directement menacés. Après on a commencé à avoir peur d'être cambriolés. Résultat: Il se produit un cambriolage toutes les 1,5 minutes en France, soit près de 985 cambriolages par jour. Après on a eu peur des terroristes. Il y a eu deux attentats. Des centaines de victimes innocentes. Et de nouveau on a commencé à avoir peur. La peur d’être en danger. Comment s'est installé cette peur?

J'ai voulu me détendre devant la télé. Je cherchais une comédie ou une émission distrayante. J'ai commencé à zapper. Il y avait des séries policières sur beaucoup de chaines. Des crimes et tueurs en série ça ne me plait pas, je passe. Les nouvelles encore pire. Vous savez très bien le sujet depuis les attentats et même avant. On parle que de ça. On s'attend à pire. Après j'ai vu qu'il y avait  "Enquête en actions". Comment les policiers luttent contre les trafiquants. Cette émission te met en contact avec la dure réalité. Toutes les nouvelles te montrent un visage de la réalité. Le plus laid et le plus effrayant. C'est comme ça que s'installe la peur. Et on laisse nos émotions prendre le dessus. On est comme les cobayes de laboratoire face à un stimulus. Et voilà comment la peur est présente dans notre société. Quand on rencontre d'autres gens ont discute de ce qu'on a vu à la télé. Tout le monde nous donne encore plus de raisons d'avoir peur. On veut être en sécurité, mais on se concentre sur ce que nous met en danger. On se concentre plus sur les terroristes que sur les victimes. On connait les noms des kamikaze, mais pas ceux des victimes. 

La peur plane depuis quelque temps et elle est intensifiée par les médias, les séries, les films, les jeux vidéo, les discours des politiques. Par rapport à d'autres années, le  nombre des films fantastiques et d'horreur est plus grand que le nombre des comédies romantiques. E il y a aussi un nouveau style la comédie noire. La société est basée sur la peur. Et j'ai laissé pour la fin la peur de tomber malade. Le médecin fait bien peur au gens. Où on va si on continue comme ça? Comment combattre la peur ? S'informer c'est bien, mais rester dessus ça devient nuisible. S'il y a quelque chose qui te dérange, déconnecte-toi. On peut lire un bon livre, méditer, jouer avec les enfants, faire du sport, apprendre à danser, planter des fleurs. Le monde a tellement belles choses à nous offrir. Si tu veux des choses positives, pense positivement. On ne peut pas contrôler les choses, mais on peut contrôler nos réactions et nos émotions. Si on laisse la peur prendre le dessus, notre liberté sera restreinte et on donnera le contrôle de nos familles, nos maisons, nos finances, nos ressources , nos maisons. La dictature totalitaire s'instaura et notre vie ne sera plus jamais la même.

Suivre son chemin

       Combien des fois on aime dans une vie? Une fois ou plusieurs fois? Comment faire la différence entre un amour véritable et une simple relation qui n'amène nulle part? Moi je pense qu’on aime plusieurs fois et chaque fois c’est différent. Et chaque fois l’amour nous trouble et nous transforme. Je l’ai rêvé, je l’ai espéré, je l’ai rencontré et je le vis. Quand je l’ai rencontré j’ai eu le coup de foudre. C’était comme si je le connaissais depuis toujours, d’une autre vie...C’est un sentiment de déjà-vu, comme si j’avais gardé son souvenir dans mon cœur. Ou peut-être c'est le début de l'amour. J'ai toujours confiance que la vie peut changer même dans les moments les plus difficiles. Je ne crois pas dans un destin qui nous ai écrit et qu'on ne peut pas changer. Je crois qu'on a des pages qu'on doit les écrire nous-même. Chaque décision qu'on prend peut faire la différence. 

       Je pense que j'aurais pu prendre un autre chemin. Mais j'aurais été plus heureuse? Je ne sais pas. Ce que je sais c'est qu'on doit avoir le courage de suivre ses rêves. Aller jusqu'au bout de tes rêves. Quand on a arrêté de rêver, on a perdu le chemin. Les êtres humains ne sont pas des feuilles portées par le vent, ils sont des créateurs et des constructeurs. C'est nous qu'on construit notre propre réalité. Quand vous avez deux chemins un à gauche et un à droite et vous choisissez d'aller à droite c'était votre choix. C'est pareil dans chaque moment de notre vie. Peut-être dans un autre moment vous croyez que vous n'avez pas le choix et vous faites rien. Même ça c'est un choix. Le choix de rien faire. Attendre c'est aussi un choix. C'est ça la beauté du libre arbitre. Le destin est là devant toi. Il y a plusieurs chemins. Ça dépend de toi lequel tu prends.

       La vie est pleine des surprises, des rencontres, des leçons. Chaque personne qu'on rencontre est importante dans un certain moment de la vie. J'avais une amie d'enfance. On s'est perdu de vue pendant des années. On s'est revue au métro, juste le temps d’échanger nos coordonnées. On est redevenu proches. Grâce à elle j'ai pris la décision la plus importante de ma vie et si je suis ici aujourd'hui c'est grâce à ce rencontre au métro. Je suis sortie avec un garçon juste quelques fois. Rien de sérieux. Mais un des ses amis est devenu mon meilleur ami. Un ami qui m'a soutenu toujours et qui a été toujours là pour moi dans les moments difficiles. 

        Une autre fois, une copine m'a presque forcée aller à une fête, même si j'étais triste. Et ce soir,  à la fête j'ai rencontré quelqu'un avec qui j'ai vécu pendant sept ans une belle histoire. Une relation avec des hauts et des bas qui a durée des années et qui aurait pu finir en mariage. Mais je sentais que ce n'est pas lui l'homme de ma vie. Une autre fois je suis tombé amoureuse de quelqu'un et j'ai changé de ville pour être avec lui. Mais il est parti à l'étranger et moi dans cette ville que j'avais choisi pour lui, j'ai rencontré l'amour de ma vie. Et je suis ici grâce à tous ces gens que j'ai rencontré dans le chemin. Si une seule chose aurait été différente, mon chemin aurait été différent. Il ne faut pas regretter le passé, ni les amours perdus. Un jour tu te rendras compte que c'était mieux ainsi. Et si ta vie n'est pas comme tu veux, il n'est jamais trop tard de changer. Un jour j'ai pris l'avion et j'ai laissé tout derrière moi. Et j'ai trouvé mon chemin. Mais ça c'est une autre histoire.

L'âme soeur

         L'âme sœur est une personne avec qui on partage une connexion très spéciale et on se sent une très forte attraction. On a l'impression de le connaitre même si tu viens de le rencontrer. Au-delà de l'attraction physique il y a quelque chose hors de commun, une attraction magnétique. Mais il y a des gens qui ne le rencontrent jamais leur âme sœur, il y a d'autre qui rencontrent plusieurs âme sœur dans leur vie. Ce n'est pas souvent qu'on reste tout le reste de notre vie avec un âme sœur. La plupart du temps il vient dans notre vie pour nous apprendre quelque chose sur nous. Il peut nous troubler ou nous rendre heureux. Quand on ne s'aime pas, l'âme sœur vient rarement. Quand on commence s'aimer, on a plus de chances de rencontrer notre âme sœur. Mais qu'est ce que c'est l'amour de soi? Beaucoup confondent l'amour de soi avec l’égoïsme.

      Quand on est égoïste, on aime quelqu'un seulement si on a un intérêt personnel. On des sentiments de frustration si on n'obtient pas ce qu'on veut. Les autres gens sont là pour nous servir. On a toujours des attentes très hautes de la part de tous: partenaire, enfants, amis. Quand on a de l'amour de soi, on est libéré des ressentiments, des frustrations, tu aime inconditionnellement, tu as un équilibre entre donner et recevoir.  L’égoïste donne seulement s'il y a quelque chose à gagné. L’égoïste va  s'en tirer profit de chaque relation humaine. Il a des convictions négatives, il aime plus avoir qu'être. Pour attirer l'âme sœur, il faut savoir donner, être positif, savoir s'accepter avec ses qualités et ses défauts. Quand tu as de l'amour de soi, tu émanes une énergie qui donne envie aux gens de vouloir te connaître. Parmi lesquelles ton âme sœur. Tu pourras reconnaître ton âme sœur si tu es guéri des souffrances du passé, quand tu croiras que tu mérites d'être aimé, quand tu n'auras plus la conviction que les gens se servent de toi.

          Des fois l'âme sœur est à nos cotés juste pour montrer à nous-même la personne merveilleuse qu'on est et on ne peut pas la voir. Quand une personne réussit te donner confiance en toi quand tu n'en as plus, qui peut sortir le meilleur de toi, c'est un âme sœur. On a besoin d'être aimé, encouragé, soutenu, écouté, consolé. Et on entre dans une relation avec ces attentes. On croit que une relation peut nous amener tellement de choses et quand on n'a pas ce qu'on attend, on est frustré, malheureux. Mais seulement un âme sœur peut aimer sans attentes, sans crainte, sans doute, sans conditions. Tu l'as peut-être rencontrer. Dans l'ami qui est toujours là quand tout le monde t'a abandonné, dans le petit-ami qui veut seulement ton bonheur, même si ce n'est pas avec toi. Mais si on a la chance il peut être le père de tes enfants et ton partenaire pour le reste de ta vie. Il faut croire dans l'amour et dans l’âme sœur.

Comment j'ai trouvé l'amour

        Je veux vous partager mon histoire. Je vais vous rencontrer toutes les expériences qui m'ont aidé à trouver le vrai amour.  Il y a quelques années, je voyais quelqu'un, mais je ne me sentais ni en couple, ni seule. Le genre de relation qui n'amène nulle part. Je n'étais pas heureuse, mais j'avais des sentiments. Au départ, il semblait amoureux, mais après il a voulu partir dans un pays lointain. Et c’était le début de la fin. C'était claire pour moi qu'il n'avait aucune intention de m'amener avec lui ou de vouloir rester pour moi. Mais j'ai continué à espérer qu'il va changer d'avis. Plus je voulais passer du temps avec lui, plus il trouvait des excuses. Et un jour il est parti. Il m'a assuré qu'on va continuer se parler au téléphone ou par Skype. Mais au fond de moi je savais que c'était la fin. Au départ, on parlait tous les jours, après moins. Il m'appelait quand il se sentait seul. Moi je l'appelait quand il me manquait. Je me sentais seule et abandonnée. 

         J'ai commencé à chercher d'oublier, mais je n'arrivais pas. C'était comme si une partie de lui était resté avec moi. Après quelques mois, il est revenu pour une courte période. Il a voulu me voir. Il m'a donné rendez-vous, mais il n'était pas seul. Il était avec sa mère et sa sœur. On était comme deux vieux amis qui se racontent leur aventure.  Il n'y avait plus rien. Loin des yeux, loin du cœur. Et là j'ai compris qu'il faut passer à autre chose. Avant j'ai fait un dernier essai en lui envoyant tout ce que je ressentais. Sa réponse a été simple: "je ne t'avais rien promis". Tout l'amour que j'ai eu pour lui est disparu. Et j'ai décidé que je vais me respecter plus et que c'était la dernière fois que je permettrais qu'on me traite ainsi. J'ai eu une prise de conscience que je vaut plus que ça. Si moi je commence à m'aimer, alors quelqu'un va m'aimer aussi. J'ai commencé à investir en moi plus qu'avant. J'ai changé mon look, ma garde robe et l'attitude. Je demandait respect. Et je me suis promis à moi-même que je n'accepterai plus jamais une relation qui amène nulle part. Tout ou rien. Et pour le moment j'avais rien.

          Un jour je suis allée à un rencontre un peu spéciale. C'était une conférence tenue par un amérindien qui était venu pour nous parler de leur tradition spirituelle. J'ai trouvé leur valeurs et leur vision des choses très intéressantes. A la fin de la conférence il a répondu aux questions du public. Comme réponse pour quelqu'un du public, il nous a parlé d'être reconnaissant. Et là, il me demande à moi pour quelle choses de ma vie  je suis reconnaissante. J'ai énuméré des choses comme: la santé, le travail, les amis. Et là, il m'a demandé si j'étais seule. J'ai dit oui. Il m'a demandé pourquoi une jolie femme comme moi n'a pas trouvé quelqu'un. J'ai dit que je n'ai pas eu de chance. Il m'a regardé directement dans les yeux et il m'a demandé: "As-tu demandé à l'Univers de trouver l'amour"? J'ai dit non. J'ai demandé: "C'est si simple? Demander?" Et il a dit: "Oui. Notre mission est d'être heureux. Demande de t'envoyer quelqu'un qui te rendra heureuse." Je suis sortie de cette salle une autre personne. Je ne sais pas pourquoi, mais je l'ai cru. J'ai vu cette conversation comme un signe. Je me souviens que j'ai demandé à l'Univers de m'aider à trouver l'amour de ma vie. 

            Et un mois après je l'ai rencontré. Je venais de m'inscrire sur Meetic quand j'ai vu un profil qui m'a attiré. C'était un homme qui disait qu'il est romantique et il cherche la femme de sa vie, car il veut croire de nouveau en amour. J'ai écrit: "Si tu es vraiment comme tu dit, appelle -moi." Et j'ai laissé mon numéro de téléphone. Il m'a appelé, on est resté des heures au téléphone. Il était divorcé avec un enfant, il habitait dans une autre ville et il avait beaucoup souffert. On a beaucoup parlé au téléphone, on avait tellement choses en commun. Une semaine après il est venu me rencontrer et c'était le coup de foudre. On se voyait chaque weekend et on a appris à se connaître. Il était l'homme parfait pour moi et moi pour lui. Il est romantique, gentil , attentionné, protecteur, respectueux, sincère. Quelques mois après on a décidé de vivre ensemble et après notre fille est venue au monde. Et on est heureux et on s'aime encore plus fort. J'ai demandé de trouver l'amour de ma vie et l'Univers me l'a envoyé.

Vivre l'éternel présent

         On vit dans une société où on passe notre temps se préparer pour le futur. Chaque fois on oublie prendre le moment présent tel comme il est. De contempler et d'admirer les choses sans penser au prochain pas. Une minute de contemplation devient une perte de temps. On ne s'arrête plus admirer les paysages. On ne découvre plus rien de nouveau, on trouve tout sur google. On identifie tout, rien nous étonne plus. On sait tout, mais on ne voit rien. On n'a jamais été si proches mais aussi loin. On est connecté sur wifi et complétement déconnecté du monde. Loin des yeux, loin du cœur. On donne trop d'importance aux mots et aux images qu'à la chaleur d'un embrassement. Il y a des années quand j'étais étudiante, on faisait des sorties, on allait à la montagne et on ne prenait aucune photo. On faisait des sorties et personne d'autre ne le savait. Je ne faisait pas des selfies pour montrer où j'étais. Je m’arrêtais pour m’émerveiller de la nature. Je ne m’arrêtais pas tous les cinq minutes pour vérifier si quelqu'un m'a envoyé un message. Je vivais le présent. Je m’arrêtais pour sentir les roses.

       J'ai perdu récemment une personne qui m'était très chère, un très bon ami. Il était jeune, mais chaque fois que je parlais avec lui,  j'avais l'impression qu'il était âgé et il a vécu beaucoup de choses. Maintenant je comprends pourquoi. Il avait 34 ans. Il voulait faire tellement de choses, tout connaitre, tout voir. Il a fait plus de choses que d'autres personnes de 60 ans. Il m'a appris d'être spontanée, de faire des folies sans se prendre la tête. Il pouvait organiser une soirée où on chantait toute la nuit accompagnés de sa guitare. Ou conduire toute la nuit pour aller à la montagne et admirer les lumières de la ville. Ou aller prendre le déjeuner à 200 kilomètres parce qu'il avait envie de manger un plat spécifique. Ou passer des heures en racontant des histoires ou des blagues. Avec lui j'ai chanté en public juste pour amuser les gens. On s'est impliqués dans des actions caritatives car il aimait aider les gens. Il rendait ma vie intéressante. Il prenait la vie telle comme était, il n'aimait pas faire des projets, il ne prenait pas des décisions à long terme. Il ne jugeait personne et il acceptait tout le monde. Il se faisait facilement des amis. Si quelqu'un avait besoin d'aide il était toujours là. Je me souviens une fois quand j'étais cambriolé est venu me tenir compagnie car j'avais peur de rester seule. Il a été comme un ange gardian. Je ne l'oublierai jamais et je vais chérir toujours les souvenirs partagés avec lui. 

J'ai compris que les gens ne restent pas toujours avec nous et rien ne peut remplacer le présent. J'ai passé mon temps penser aux prochains pas, je me suis perdu moi - même dans mes projets. Je me disait toujours: "Je vais faire ça demain, le mois prochain, l'année prochaine". Je n'ai pas visité mon père pendant des mois. J'étais trop occupée avec mon quotidien. Je me disais que j'irais le voir de Noël. Je croyais qu'il sera là éternellement. Je ne m'attendais pas qu'il ne sera plus là de Noël. J'ai perdu mon père quand je fêtais l'anniversaire de mon copain de l’époque. Et ça était tellement vite que je n'ai même pas pu entendre sa voix pour une dernière fois. Je vivrai toujours avec le regret de pas voir mon père avant son décès. Mon père aimait parler beaucoup des plantes, des animaux, des oiseaux. Il se sentait très lié a la terre et il aimait vivre tranquillement et prendre soin de son jardin. Il était un homme simple, qui gardait quelque chose d’ancien en lui, quelque chose qui ne faisait plus partie de ce monde moderne. Pour lui, la terre était un être vivant et il avait un sentiment d’admiration envers celle-ci. Il y avait une liaison spéciale entre lui et la nature. Il ne faisait pas de plans,  il savait que des choses ne sont jamais comme on veut. Les agriculteurs savent ça mieux que personne. Des fois il pleut trop, des fois il y a la sécheresse. Rien ne reste constant. Même si on trouve notre chemin, il y aura plein de surprises. Hier est passé, demain n'est pas encore là, il nous reste que le maintenant. Le présent est la seule constante. Le présent est éternel.

Être spectateur des événements

       

     Dans le monde se passent des choses horribles tous les jours. La violence a atteint des cotes alarmantes. Dans certains pays il y a un nombre énorme de victimes. Mais ces choses on les regarde comme des spectateurs objectifs, on ne s'implique ni physiquement, ni émotionnellement. On ne pleure pas pour les milliers des victimes. Mais un attaque dans un pays européen avec des centaines de victimes, c'est une tragédie mondiale. On s'implique émotionnellement et on pleure comme si c'était quelqu'un de notre famille. On se met à leur place et on devient des acteurs dans un film qu'on regarde à la télé. On se vide de notre énergie en ressentent les mêmes sentiments de désespoir, de haine, de tristesse et de peur. Quand on a peur, on est faible, vulnérable, on n'a pas d énergie. Quand on est joyeux on a beaucoup d'énergie. Vous avez vu les enfants quand ils sont heureux comme ils sautillent, ils dansent. Et même les adultes. Quand on est bien on a de l'énergie. Quand on est triste, on n'a pas, on est faible.

        Quand on se met dans la place des gens, on parle de l'empathie. L'empathie est différente de compassion, d'altruisme. Le terme provient du grec ancien et elle peut être traduite par souffrance intérieure. Dans ce cas la souffrance de l'autre devienne la tienne. Tu ressens les mêmes émotions, sans les avoir vécues. Et ainsi la souffrance se propage. Il y a plus d'acteurs qu'il y avait au début. Et ça ne change rien. On perd de l'énergie. Qui aide le plus? Ceux qui s'unissent pour donner un coup de main en s'impliquent directement avec des actes ou ceux qui pleurent devant la télé? 

        On peut sentir de la compassion, mais comme spectateurs, on observe, on reste neutre, on contrôle nos pensées et on ne sombre pas dans la peur, le désespoir, la psychose. Si tu n'as pas été touché, ni tes proches, prends les choses comme des informations. Reste calme et maitrise tes émotions. Essais de pas ressentir de la haine. Dans ces situations, si tu peux aider, si tu ne peux pas, aide par tes pensées positives. Garde ton énergie pour toi et tes proches. Tu ne devrait pas stresser pour quelque chose que tu ne peux pas changer. Tu es l'acteur de ta vie. Fais une vie meilleure pour toi et les autres. Traites les autres comme tu veux être traité. Regarde le ciel, le soleil, la nature. Sois heureux que tu es en vie.  Offres des sourires, sois en harmonie avec le monde. Déconnecte-toi de ces choses horribles qui nous rend mal. Il faut rester des spectateurs conscients et objectifs. N'oublie pas que  chacun d'entre nous est acteur de sa propre vie  et spectateur des autres.

La condition de l'homme

       Je tiens à préciser que la plupart de mes articles sont sur la femme et son rôle dans la société. Quelques articles sont sur la société et le monde, sans faire de la politique. Je reste neutre dans toutes les circonstances, je suis une observatrice, je ne veux pas juger ni les personnes, ni les événements que se passent. Je crois qu'on est séparé l’un de l'autre et on oublie trop souvent qu'on fait tous  partie de l'humanité. Les hommes et les femmes de monde entier ne se rendent pas compte de leur nature. On a écouté trop souvent l'ego qu'on n'entend plus  la voix du cœur. On est des êtres humains qui s'identifient avec le pays où on est né, avec la religion de nos parents ou la manque de religion, avec les études qu'on a fait, avec le métier ou la boite où on travaille. On s'identifie avec ce qu'on fait, mais pas avec ce qu'on est. Car on a oublié qui on est réellement. Qui s'oublie soi-même, il s'identifie avec la société, un groupe, un mouvement. Il n'est plus une individualité singulière et unique. "Lorsque vous vous dites Indien, Musulman, Chrétien, Européen, ou autre chose, vous êtes violents. Savez-vous pourquoi? C'est parce que vous vous séparez du reste de l'humanité, et cette séparation due à vos croyances, à votre nationalité, à vos traditions, engendre la violence. Celui qui cherche à comprendre la violence n'appartient à aucun pays, à aucune religion, à aucun parti politique, à aucun système particulier. Ce qui lui importe c'est la compréhension totale de l'humanité".(Jiddu Krishnamurti) La séparation engendre la violence, l'injustice, l'intolérance. Étiqueter les gens c'est de limiter leur nature.

            La nature de l'homme est d'être créateur. Pourquoi on se souvient des artistes? Ils ont été uniques et ils ont crées quelque chose d'unique. Mozart n'avait pas besoin de s'identifier avec les autrichiens ou les catholiques. Même pas avec les autres compositeurs. Lui était seulement Wolfgang Amadeus Mozart. Léonard de Vinci ne se présentait pas ainsi: "Je suis italien, je suis artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, peintre, sculpteur, architecte, musicien, écrivain, philosophe". Vous imaginez sa carte de visite?  Ils ont restés fidèles à eux -mêmes,  à leur œuvre et ils ont laissé un héritage pour postérité. On vous dit toujours qu'il y a des gens extraordinaires, mais la plupart des gens sont normaux. Imaginez-vous deux scénarios. Dans le premier cas on a un enfant qu'on lui dit tout le temps qu'il est comme tous les autres, qu'il  n'a rien de spéciale, qu'il doit avoir un métier pour gagner sa vie. Dans le deuxième cas on dit toujours à l'enfant qu'il est extraordinaire, qu'il peut faire des choses exceptionnelles, qu'il est doué. Lequel des enfants va avoir une vie meilleure ? Lequel va suivre ses rêves? C'est évident que le deuxième enfant aura la confiance et l'ambition  pour faire la différence dans le monde. Lorsqu'on pense qu'on est unique on peut devenir les créateurs de notre propre réalité. Il faut juste trouver notre talent et créer une œuvre unique. Personne n'a le droit de nous imposer des limites. En chacun de nous on peut trouver un homme extraordinaire comme   Mozart,  Picasso, Balzac, etc.

Soyons solidaires avec l'humanité entière

        J'ai connu Paris il y a quelques années quand la ville était pleine de vie, de joie et de la bonne humeur. Je sortais souvent et je prenais les bus de nuit sans avoir peur. J'entendais toutes les langues du monde, les touristes étaient heureux de visiter la capitale des lumières. Et j'étais comme un enfant devant une boite des bonbons, j'étais émerveillée devant les immeubles, les musées, la Tour Eiffel et tous les endroits qui font de Paris la ville la plus visitée au monde. Après j'ai quitté Paris pour vivre dans une ville plus tranquille. Et après il y a eu Charlie Hebdo. Les parisiens ont commencé à se sentir vulnérable et en danger devant la menace terroriste. Le monde entier est devenu Charlie en se montrant solidaire avec les victimes. Après peu de temps, les gens ont arrêtés d'être Charlie et la vie a continué. On a oublié ce que c'est passé. Entre temps il y a eu des autres tragédies. En Yémen, en Nigeria, en Ukraine, en Syrie, en Pakistan, partout au monde  des milliers des gens, impliqués dans une guerre  qu'ils n'ont pas voulu ou commencé. Des victimes collatérales. Des hommes, des femmes et des enfants qui ont eu la malchance d'être nés dans un  pays en guerre. Mais les médias ne parlent pas de toutes ces tragédies. Elles sont loin, ça nous concerne pas. Et le 13 novembre il y a eu des attentats à Paris. Plus sanglant que jamais. Des terroristes ont attaqué avec des kalachnikov des gens innocents qui étaient sorti pour aller à un match de foot, un concert rock, prendre un café ou manger au restaurant. Des choses normales pour une capitale mondaine comme Paris. Et arrivés de nulle part, armés jusqu'au dents, avec des armes et des explosifs que seulement des militaires pourraient avoir en possession, ils ont laissé Paris dans un bain de sang. 129 morts et environ 200 blessés. Et de nouveau la France est en deuil. Les parisiens sont terrorisés, ils ont peur de sortir. Il y a des bougies allumées pur les victimes et des messages pour les terroristes: "J'ai pas peur." Mais c'est vrai? On n'a pas peur? On a été attaqués dans notre pays, un pays qui n'est pas en guerre. C'est pas en Syrie, Yémen, Nigeria, Ukraine ou Pakistan. C'est normale là-bas. Mais pour les attentats en  France le monde entier est encore une fois en choc.

         C'est normale nulle part, les attentats touchent tout le monde. Ce sont des années qu'on fait la guerre. Une guerre commandée d'un bureau des personnes pour qui les gens sont des chiffres. Les soldats sont prêt à tuer des hommes, des femmes et des enfants et ils deviennent des héros. Quand on comprendra que la violence attire plus de violence et on est tous concernés? Les terroristes ont fait beaucoup de mal, ont laissés des familles en deuil, des parents sans enfants et des enfants sans parents. La France entière est en deuil, mais seulement ceux qui ont perdu un être cher peuvent vraiment être en deuil. Leur larmes sont sincères et leur douleur réelle. Les autres vont oublier, comme ils ont oublié Charlie Hebdo. Moi je ressens de regret, de compassion mais pas seulement pour la France, pour toutes les tragédies partout au monde. Une fois dans notre vie, soyons solidaires avec l'humanité entière. Les victimes ne sont pas des chiffres, elles avaient un nom, une famille, peut-être des enfants. Toute notre société est basée sur la peur, la compétition, le pouvoir, la domination, le sexe sans conscience, l’abus, le schéma victime-bourreau. En créant des guerres ou attentats, l’horreur ressentie par les humains les met dans une vibration d’impuissance, de peur et de haine sans précédent. Il faut être des observateurs conscients, mais neutres. Une émotion forte attirera des sentiments de haine et ça nous amène nulle part. La haine attirera plus de haine et de violence. Une guerre représente 20 ans de haine. Je suis consciente de toutes ces tragédies, mais je crois dans la bonté des gens, l'amour, l'entraide, la solidarité. Donnez de l'amour et souhaitez la paix au monde. Soyons solidaires avec tous les êtres de la terre. Pas seulement dans les tragédies, mais en chaque moment de notre vie. C'est le temps de comprendre qu'on est lié l'un à l'autre et tout ce que se passe dans le monde nous concerne tous. Chacun a un impact sur le monde et sur les êtres humains. D'un pays à l'autre, d'un continent à l'autre, on doit vivre en paix.

Réussir son couple

         

          Réussir son couple c'est un défi dans notre société où un mariage sur deux finit par le divorce. L'homme et la femme forment un couple qui est fondé souvent sur des mauvaises raisons. Gouvernés par l'ego, ils sont à la recherche de contrôle. Il y a de la compétition, jalousie, domination. Un vrai couple est formé de deux êtres qui sont compatibles, qui se soutiennent, qui s'aiment malgré tous les problèmes quotidiens. Dans notre société les gens jettent toutes les choses qui se cassent. On a la tendance de faire pareil avec les gens. C'est plus facile remplacer les gens que lutter les garder. On rejette les personnes qui nous aiment et on court après ceux qui nous rejettent. Combien de fois on a dit le même discours: "C'est mieux qu'on reste amis ou c'est pas toi, c'est moi". Ou on a entendu de la part de la personne qu'on aime: "Je ne t'ai rien promis, je ne ressens pas la même chose pour toi". Et combien de fois on rencontre quelqu'un qui nous promet un amour éternel? Il y a peu de gens qui croient dans l'amour pour la vie . Mais j'ai appris que les actes parlent plus que les paroles. C'est ce qui fait la différence. Et l'amour viendra si tu crois vraiment. Donne-toi la chance d'attirer l'homme de tes rêves dans ta vie!  

            

            Il y a certaines choses qui attirent les hommes. Mettre en valeur tout ce que la nature t'a donnée et tous les points forts peuvent transformer une femme normale dans une femme irrésistible. Avec un parfum spécifique, il peut devenir ton grand admirateur. Il est connu que le parfum est unique en combinaison avec le PH de ta peau. La posture et le mouvement féminin, élégant de ton corps est très incitant pour lui. Ta voix chaleureuse, aimable, féminine est aussi un point fort. La plupart des hommes préfèrent la tonalité plus grave de la voix. Utilise ton regard. Tu peux exprimer beaucoup de choses avec un certain regard. Tu peux jouer avec lui et transmettre un message claire avec un seul regard.  Des vêtements féminines et élégantes. Ils se sentent fiers si leur partenaire est admirée. Un sourire est une arme à notre disposition. S’il te pose un question et tu ne veux pas répondre, la meilleure réponse est un sourire. Il va rester fasciné. Un homme se sentira plus à l’aise à coté d’une femme spontanée. Il ne se sent pas attiré par une femme qui calcule chaque geste, chaque réponse. Sois spontanée, utilise l' imagination. Il aime la spontanéité d’une femme. Prends l’initiative. N’attends pas qu’il prenne tous les décisions. S’il choisit toujours pour vous, tu risque avoir une relation monotone. Quand vous sortez, fais-lui une surprise, ne dis rien de l’endroit romantique que tu as choisi! Il sera impressionné. J’ai observé que j’étais plus heureuse quand je donnait amour inconditionnellement, quand je préparais une surprise, le petit déjeuner ou un café, les choses simples qui disent “Je t’aime!” Au début, la relation est la plus belle. Il y a du mystère, de magie, d’espoir, d’imagination. Essaye de prolonger ce stade. C’est inoubliable. 

               Tu sais que c'est le vrai amour quand pour la personne aimé, tu es la plus belle, la plus gentille, la plus importante au monde. Il te respecte et te protège, il t'encourage, il t'accepte telle qui tu es et il veut toujours ton bonheur. Et toi tu deviens une meilleure personne à ses cotés. Une bonne relation c'est celle qui nous fait évoluer, qui nous rend meilleure. Avec une telle personne, on peut être nous-mêmes en mieux. Tu sais que c'est l'amour quand il part le matin et le soir te dit que tu lui a manqué. La communication est très importante, mais aussi être à l’écoute. Et des fois on dépasse la communication et on s'entend d'un seul regard. On sait ce qu'il pense même avant qu'il parle. Tu penses à la même chose que lui. Vous êtes connectés. C'est difficile trouver l'amour, mais il faut croire que quelque part dans ce monde il y a quelqu'un qui n'est pas parfait, mais il est parfait pour toi. Et tu es parfaite pour lui. Parce que vous êtes faits l'un pour l'autre. J'ai dû venir dans un pays lointain pour trouver ma moitié. Et il a changé ma vie. Et ensemble on file l'amour parfait et on élève notre fille dans une atmosphère d'amour et de respect mutuel. Car un enfant est plus heureux dans une maison où règne l'amour.

         

               

Le bonheur ne dépend pas d'un homme

   

            La société et les médias créent l'illusion qu'être belle et sexy te rendra heureuse, encourageant ainsi les hommes et les femmes à continuer encore et toujours à courir après un bonheur qu'ils ne semblent jamais atteindre. Les  femmes, dans notre société moderne sont vues comme  « sexuellement attirante » ou non. Leur bonheur dépend d'un homme riche. Il n'est qu'un compte en banque. Il y a des femmes qui pensent ainsi: "Seulement un homme riche peut me rendre heureuse. S'il veut avoir une relation avec moi, il doit me satisfaire tous mes caprices. Moi je mérite le meilleur. Restaurant de luxe, des vêtements de marque, des bijoux, une voiture." Elles ne pensent qu’à elles-mêmes, contrôlée par leur égo. Elles misent sur l’aspect extérieur et leurs charmes pour obtenir l'admiration et les faveurs d'un homme ou plusieurs. La concurrence entre elles et d'autres femmes est acerbe, car elles ont une crainte d’être abandonnée pour une femme plus sexy, plus jeune et plus attirante.

  

 Il y a d'autres femmes qui pensent que leur bonheur dépend d'un mari. Tu es malheureuse parce que tu n'as pas une famille? Alors, cherches ta vocation. Et tu vas commencer à te sentir en sécurité avec toi même. Si on vit dans un monde où on est égale à l’homme, alors fais comme lui. Cherches ton lieu dans le monde, cherches à faire quelque d'utile. Si tu n’ai pas de la passion dans ta vie, une vocation, une vie, un cercle d’amis c’est normal de te sentir seule. Enrichies ta vie, fais des nouvelles expériences et tu vas voir comme ta vie va changer. Si tu commences à faire du sport, des excursions, des loisirs, tu vas commencer te sentir détendue et satisfaite tout le temps. Et un homme va aimer ton indépendance et va désirer faire partie de ta vie. Et ne le laisses pas croire qu’il est le centre de ta vie. Il est bienvenu dans ta vie avec tous tes autres activités et loisirs. Essaies, fais tes expériences, écoutes la voix qui est en toi. Essaies de pas demander des choses absurdes comme par exemple: “Prends soin de moi !” Personne ne veut aimer une petite fille  toute la vie. Ne cherches pas toujours l’approbation et le soutien moral de ton homme. Tu ne peux pas construire ta vie si tu est dépendante de son avis. Il te va reprocher ça un jour. Il va dire: “Ton immaturité et ton égoïsme a tué l’amour que j’avais pour toi. Et il voudra autre chose et il te dira : “Je ne veux plus me préoccuper de ta vie”. Les hommes cherchent une femme, pas une petite fille. Tu n’as jamais pensé a lui, tu as toujours demandé sans rien donner. Et quand tu te retrouveras seule, tu seras assez forte pour recommencer. Et si tu es heureuse dans ta vie en étant célibataire, tu seras encore plus heureuse dans une relation amoureuse.

             Si tu es une femme autonome, ne fais pas l’erreur de renoncer à tout pour ton homme. Ne renonces pas à tes amis, ta vocation et tes passions pour une relation. Il ne te demande pas de choisir entre ta vie et lui. C’est toi qui fait un choix. Ne perds pas l’estime de toi et ne pense pas immédiatement que tu n’est pas assez bonne, qu’il te va quitter. Il veut seulement être plus que moitié de cette relation, il veut retrouver sa personnalité unique. Tu dois avoir la liberté de faire ta vie comme tu veux, même si tu es dans un couple. Il va comprendre et apprécier une femme indépendante, libre et heureuse. Et si ta vocation est importante pour toi, il doit la respecter. Parce que personne n’a le droit de te dire comment faire ta vie et comment passer ton temps. Trouves un sens dans ta vie, fais quelque chose que tu aimes et tu va évoluer intellectuellement et spirituellement. Ton bonheur ne doit jamais dépendre d'un homme. Commences maintenant à construire ton avenir sans un homme, penses que les hommes ne restent toujours a coté de toi. Et si tu as la chance de trouver l'amour de ta vie, tu seras épanouie et tu apporteras la compassion, la sensibilité, l’écoute, l’empathie, la douceur et et tu auras un impact positif sur la vie de ton homme et de tes enfants.

La femme aujourd'hui

 Être femme dans notre société est devenu: être féminine, mais pas trop (si elle pleure, elle est dépressive), belle (90-60-90, les mesures parfaites, même si parfois les mesures qu’on voit dans les médias sont corrigées avec Photoshop), un teint parfait, des cheveux longues, ni trop grande, ni trop petite, des formes généreuses (même s’ils sont corrigés par le chirurgien plastique, mais qu’est ce qu’on fait pour être parfaites!!!), intelligente (mais pas trop, après l’homme se sent complexé), douce, tendre (elle doit comprendre quand il vient a 2 heure du matin après une sortie avec les amis), indépendante (mais disponible sexuellement), elle doit gagner de l’argent, ouverte, mystérieuse, charismatique, avoir confiance en soi, avec un petit grain de folie, humour et sexappeal.

Maintenant on vit dans un monde difficile où être femme est devenu une lutte permanente. Comme un paradoxe, même si les femmes peuvent être indépendantes, les médias  nous promeuvent tous le temps la femme belle, sexy, fragile, l’objet des désires des hommes. Et le message qu'on reçoit est  que la vie est plus facile pour toi, si tu est une belle femme. Tu peux avoir dix admirateurs et choisir le meilleur homme pour toi. Et le meilleur pour une belle femme est toujours un homme avec une belle carrière, avec une belle maison, avec un grand compte en banque. Mais si tu n’est pas une belle femme, alors tu n’as pas choix, tu n’as aucune chance. C’est le message qu’on voit tous les jours au ciné, dans la pub, dans les magazines féminins ou masculins, dans les journaux, à la télé. Elle sont les femmes qu’on voit toujours très chic, à la mode, elle savent toutes les nouvelles tendances, les derniers parfums, les dernières chaussures. Elles sont toujours a la recherche d’un homme. Elle sont belles, chics, sexy, mais très superficielles. Les hommes qu'elles attirent savent ce qu’il veulent. Ces hommes veulent être dans une relation pour s’afficher avec une belle femme. Parce que leur condition sociale demande une belle voiture et une belle femme. Elles deviennent un accessoire à la mode.  Elle se croit aimée, mais ce n'est qu'une illusion.

        Un vrai homme ne veut pas une poupée en plastique, il veut une vraie femme, qui apporte la lumière et l’harmonie dans sa vie, intimité et chaleur. On est plus qu’un beau corps, on est esprit. Les femmes intelligentes savent utiliser leur charme, plus que leur corps. Parce qu’une femme, qui utilise seulement sa sexualité, n’inspire aux hommes le vrai amour. Être une vraie femme signifie être raffinée et douce, diplomatique, aimable, avoir un esprit puissant, être heureuse, mais pas faire semblant et inspirer amour. C’est difficile se sentir contente et sourire tout le temps, c’est difficile rester digne devant les difficultés de la vie et répondre a tous avec bonté et sagesse. C’est difficile être une vraie femme. Mais une vraie femme va connaître l' amour authentique, profond que deux âmes sœurs partagent.

La nature de notre ego

      L'ego fait partie de toi, mais ce n'est pas qui tu es. Je veux vous dire comment fonctionne l’ego humain. Depuis qu’on est enfant, il commence à mettre une étiquette sur toutes les choses. C’est notre façon d’apprendre le monde. Si le bébé voit une chaise et on lui explique que cet objet s’appelle “chaise”, il sera enregistré dans sa tête. Après, il commence à étiqueter les sentiments et les émotions, les sensations et tout ce qu’il peut voir ou percevoir. Il a donné un nom a tout. La prochaine fois, sa mémoire l'aidera les reconnaître. Mais notre mémoire garde toutes les émotions, toutes les peurs, toutes les situations quand on a souffert. C'est l'ego qu'on voit dans un miroir quand on a peur, honte, mauvaise conscience. On construit un mur et on se cache derrière lui. Oui, le monde est imparfait, incertain, hostile, si tu commences le voir comme ça, il va devenir. C’est dans la nature de notre ego d’agir négativement à cause des ses peurs et des angoisses. L'ego nous empêche d'atteindre le bonheur. Il est la source de toutes les souffrances. 

          On commence à se défendre pour éviter la douleur, même si la douleur n’est plus présente dans notre vie, elle reste toujours à cause de l’ego. Les complexes, les sentiments de culpabilité, la manque d’amour et de confiance, resteront en nous, très bien cachés, jusqu’au le moment que l’ego reconnait quelque chose de douloureux et fait sortir la douleur vivante. Et on passe le temps, en souffrance parce que on ne peut pas faire la différence entre la souffrance réelle, présente, qui est pour un instant et la souffrance enregistrée par notre ego qui n’est plus présente que dans la mémoire. L’ego ne peut pas faire la différence entre les deux, et ainsi, même si on se souvient quelque chose, on souffre encore plus. Si je te dit une blague pour 50 fois, est-ce que tu va rire toutes les fois de la même manière? Non, une blague devient ennuyeuse après que tu l’as entendu une fois. 

        Pourquoi tu pleures pour la même chose triste chaque fois que tu te souviens? Pourquoi tu te laisses vaincue quand tu reviens dans ton passé? Le présent est le plus important, parce qu'il est le seule vrai moment de ta vie. Le passé ne reviens jamais et l’avenir n’est pas encore arrivé. N’alimente pas  ton ego avec des émotions envers ton passé. Accepte ton passé et prends les choses qui t’ont aidées sur ton chemin, les leçons que tu as appris, aime les professeurs de ta vie. Leur rôle est accompli. S’ils sont disparus, c’est parce que tu n’as plus besoin d’eux. Pense que d'autres professeurs t’attendent. Dépasse tes peurs et tu va trouver le bonheur intérieur.